Théâtre militant

Théâtre d'intervention

Le théâtre qui libère la parole.
www.theatredinter.fr

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Voyage(s) entre les lignes

Ateliers d'écritures avec publics en fragilité pour libérer et porter la parole sur scène. 
2017 avec les exilés de Lille, 2018 avec les étudiants exilés de Lille, 2019 avec les mineurs isolés, les lycéens marocains et les apprentis d'Auteuil de Caen, 2020 avec les mineurs isolés d'Arras.

Une p’tite pièce messieurs dames

Deux cabossés de la vie entrent par effraction dans un théâtre,

un soir d’orage. Milo l’érudit et Frankie l’étourdi forment un duo

fraternel, à la vie, à l’humour.

Dans cet endroit de toutes les histoires, ils se racontent la leur

sous la lueur bienveillante et éternelle de la servante. Une comédie

humaniste où glissent parfois les larmes, et qu’importe qu’elles

soient de rire ou de tristesse, parce qu’au bout du conte, on se

rassemble comme deux gouttes d’eau.


Comédiens : Greg ALLAEYS et

Stéphane VAN DE ROSIEREN

Mise en scène collective sous l’oeil

bienveillant de Cindy BADAUT

et Angélique CATEL

Durée : 1h15

Plateau : min L6 x P6 x H3 intérieur

€glise de la Très $ainte Consommation 

Comment résister par l’humour à l’ultra-capitalisme et à ses ravages..

Amour Akbar

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"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. [...] Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière, Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova, Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme, Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme, Pour de vains résultats faire de vains efforts, N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts ! Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires, Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ; Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités, Tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues, Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !"
Victor Hugo